jeudi, novembre 01, 2007

Mon soi..




Assise sur le bord d’une infinie sagesse
En quête d’une réponse m’éclairant la voie
Assise, les bras abandonnés,.. la poitrine en détresse
Cherchant la brise de réconfort me soufflant un choix
Le vent se présente défaisant mes tresses
D’enfant, mais dans le noir personne ne s’en aperçoit
Je contemple cette splendeur, je questionne, je me confesse
Dans des tourments de cris, de gris et de froid
A quoi m’attendais - je ? Un sourire, une main, une caresse..
Simplement une preuve qui me déchaîne de ce mélancolique moi
Mais rien, que ce rien ,.. la mer me délaisse
Je croyais pourtant qu’elle était d’un conseil de foi
Encore une attente, un sablier, une laisse..
Un espoir désespéré, un besoin de détourner la loi
Je me lève, m’éloigne de ces vagues traîtresses
Les larmes enfuies,.. oui je leur en veux..
Oui je les haie..
Oui, demain, seule, je trouverai ma voie..

4 commentaires:

psynaj a dit…

ti winik yé binti?

Anonyme a dit…

L'amitié double les joies et réduit de moitié les peines.
Francis Bacon

Ness a dit…

>> psynaj: Je suis de retour, à petit pas mais de retour :)
>> l'ami: Merci d'être là :*

Gattuso a dit…

hein !!
ti chbi 3azak wallit tich3ir !!